Au fil de l’eau et des années, les visites et les découvertes, les rêves d’ado qui se réalisent ainsi que les crépuscules flamboyants se succèdent.
C’est l’occasion de déclencher des dizaines de milliers de fois un obturateur et de faire pivoter un miroir.
Quand les souvenirs et les couleurs se gravent dans nos mémoires, les pixels envahissent les mémoires de nos appareils ainsi que celles du cloud.
Auparavant, nos clichés saturaient des galettes de plastique et les diapos étaient méticuleusement triées dans d’innombrables paniers prêts pour la projection.
N’oublions pas les négatifs, en noir et blanc pour les plus anciens, toujours à l’abri de la poussière et des rayures dans leurs pochettes cristal.
Qui conserve son passé est appelé à le partager !
Crépuscules s’inscrit ainsi dans le prolongement de mes publications photographiques sur les réseaux sociaux.
Bruno